Palestine, or, the Holy Land Part 18

[51] 1 Samuel, ix. 5 11.

[52] 1 Kings xxii. 8, 13.

[53] Jer. xxvi. 8, 16.

[54] Deut. xviii. 21, 22.

[55] Deut. x.x.xi. 9-14.

[56] 2 Chronicles xii. 9.

[57] 2 Kings xxii. 8.

[58] 2 Samuel xi. 18, 22. Commentaries on Laws of Moses, vol. i. p. 257.

[59] Nisan was sometimes called Abib, as descriptive of the state of vegetation in that month,--the earing of the corn and the blooming of the fruit-trees.

[60] 1 Kings iii. 2.

[61] Acts xv. 21.

[62] Deut. xvi. 9-12.

[63] History of the Jews vol. 1. p. 99.

[64] Lev. xiii. 24, 25.

[65] Numbers x.x.xvi. 1-10.

[66] John x. 22.

[67] Maccab. iv. 30, &c. 2 Macceb. i. 18, 19.

[68] Croxall's Scripture Politics, p. 60, 85. Histoire des Hebreux, par Rabelleau, tom. i. p. 405. Esprit de l'Histoire, tom. i. p. 28.

[69] The sentiment contained in the text is beautifully expressed in the following ode by Lord Byron:

I.

"The harp the monarch minstrel swept, The king of men, the loved of Heaven, Which music hallowed while she wept, O'er tones her heart of hearts had given, Redoubled be her tears, its chords are riven!

"It softened men of iron mould, It gave them virtues not their own; No ear so dull, no soul so cold, That felt not, fired not to the tone, Till David's lyre grew mightier than his throne."

II.

"It told the triumphs of our king, It wafted glory to our G.o.d; It made our gladden'd valleys ring, The cedars bow, the mountains nod; Its sound aspired to heaven and there abode!

Since then, though heard on earth no more, Devotion and her daughter Love Still bid the bursting spirit soar To sounds that seem as from above, In dreams that day's broad light cannot remove."

[70] Murray's Historical Account of Discoveries and Travels in Asia, vol.

iii. p. 130.

[71] Chateaubriand, Itineraire, tom. i. p. 380. Volney's Travels, vol. ii.

p. 335.

[72] Itineraire, tom. ii. p. 385.

[73] Travels, vol. iv. p. 289.

[74] The original presents one of the most animated and musical pa.s.sages in the Gerusalemme Liberata:--

"Ma quando il sol gli aridi campi fiede Con raggi a.s.sai fervente, a in alto sorge, Ecco apparir Gerusalem si vede! Ecco additar Gerusalem si scorge! Ecco da mille voci unitamente, Gerusalemme salutar si sente!"--_Canto_ iii. stan. v. 2.

[75] Travels in Egypt and Syria, vol. ii. p. 303.

[76] Notes on Egypt, &c. p. 274.

[77] Travels along the Mediterranean and parts adjacent, vol. ii. p. 285.

[78] Richardson's Travels, vol. ii. p. 301.

[79] Travels of Ali Bey, vol. ii, p. 214.

[80] Richardson's Travels, vol. ii. p. 321.

[81] Travels, vol. ii. p. 325.

[82] Maundrell's Journey from Aleppo to Jerusalem, p. 71.

[83] Journey, p. 74.

[84] Journey, p. 76.

[85] Maundrell's Journey, p. 94.

[86] Journey, p. 96.

[87] "Je ne decrirai pas la suite des ceremonies religieuses qui occupent le reste de la semaine sainte; c'est un recit qui peut bien edifier des ames devotes, mais non pas plaire a quelqu'un qui lit un voyage pour s'instruire et s'amuser.

"Il n'en est pas de meme d'une pratique superst.i.tieuse des Grecs schismatiques, dont la bizarrerie ne laissera pas de divertir un moment.

"Cette secte, abusee par ses pretres, croit de bonne foi que Dieu fait annuellement un miracle pour lui envoyer le feu sacre.

"A en croire les pretres Grecs, cette faveur divine, dont on ne peut pas douter, est un preuve insigne de l'excellence de leur communion. Mais ne pourrait-on pas objecter aux Grecs, que les Armeniens et les Cofes, qu'ils traitent d'heretiques, participent a cette meme grace. Ennemis acharnes les uns des autres, les ministres de ces trois sectes se reunissent en apparence pour la ceremonie du feu sacre. Cette reconciliation momentanee n'est due qu'a l'interet de tous; separement ils seraient obliges de payer au gouverneur, pour la permission de faire la miracle, une somme aussi forte que cette qu'ils donnent ensemble.

"Ces pretres portent la fourberie jusqu'a vouloir persuader au peuple que le feu sacre ne brule pas ceux qui sont en etat de grace. Ils se frottent les mains d'une certaine eau, qui les garant.i.t de la brulure a la premiere approche, et par ce moyen ne se font aucun mal en touchant leurs cierges.

Leur proselytes sont jaloux de les imiter; mais comme ils n'ont pas leur recette, bien souvent ils se brulent les doigts et le visage: il arrive de la que les pretres, paraissant jouir exclusivement de la grace de Dieu, en sont plus respectes et mieux prayes."--_Mariti, Voyages_, &c., tom. ii.

p. 340.